Pourquoi porter des bas de contention pour le sport ?
Mes-jambes.com, numéro un dans la compression et l'orthopédie en ligne, a sollicité pour vous ses experts phlébologues, angiologues et orthopédistes pour tenter de vous répondre. Pour ceux qui veulent une réponse rapide pour savoir quel dispositif ou quelle marque acheter, nous vous recommandons tout simplement les produits suivants : la chaussette récupération Recovery de Sigvaris à porter après l'effort, du fabricant Sigvaris leader historique incontesté dans la compression médicale. Et le manchon mollet de performance Compression Zone à porter pendant l'effort, du fabricant italien Cizeta nouvel entrant français sur le marché de la phlébologie et orthopédie, avec un très bon rapport qualité prix (vous vous payez tout simplement un booster de compression au prix Décathlon, avec la qualité et l'expertise de conception d'un laboratoire spécialisé en plus). Les deux produits sont en vente sur mes-jambes.com avec la livraison gratuite et rapide. Pour les autres : bonne lecture ;)
Il est de plus en fréquent d’apercevoir des coureurs avec des manchons de compression (aussi appelés boosters) ou des chaussettes de compression. Ces dispositifs, initialement issus du domaine médical pour favoriser le retour veineux des patients souffrant d’insuffisance veineuse, se démocratisent chez tous les sportifs réguliers en recherche de performance et d’une meilleure récupération. Mouvement initié déjà depuis des années chez les athlètes de haut niveau… à commencer par les bleus de l'équipe de France qui chaussent les chaussettes de la victoire à chaque compétition, depuis la coupe du monde 98 !
Même les marques d’équipement running et sportswear grand public (Nike, Adidas, Asics, Reebok…) se mettent à sortir leurs propres ligne de vêtements compressifs pour répondre à cette tendance du marché : le textile intelligent serait-il devenu le meilleur allié du sportif pour modifier ses composantes physiologiques ?
Même s’il n’existe encore que peu d’études scientifiques avec suffisamment de recul et données expérimentales pour démontrer l’efficacité des dispositifs de compression sportive, nous allons tenter de faire lumière sur le sujet en nous aidant de la littérature disponible et des différents avis des spécialistes en la matière.
Néanmoins la communauté scientifique semble s’accorder sur une chose : les dispositifs de compression sont clairement bénéfiques sur la récupération de l’athlète lui permettant de mieux enchaîner les entraînements et les compétitions, alors que leur intérêt sur l’amélioration des performances pendant l’exercice fait encore débat et reste à prouver.
De nombreux sportifs se posent des questions et nous allons tenter d’y répondre. Alors le bas de contention pour le sport ou le manchon de compression sportive est-il une véritable arme de performance, ou encore une intox des chefs de produits à destination du runner moderne en recherche du dernier textile intelligent, de l’ultime montre connectée et autre gel énergétique capable de « doper » ses performances physiques ?
Au delà de l’analyse sur les bénéfices de la compression sur les performances et la récupération après l’effort, dans quels domaines sportifs peut-on porter des dispositifs de compression ? Le bas de compression (ou contention) sert-il les sports d’endurance ou de puissance ? Quel type de dispositif faut-il privilégier : chaussettes, manchons, cuissards, voire même des manchons de bras ? Avec compression dégressive classique ou progressive ? Faut-il porter les vêtements compressifs pendant la séance de sport ou après ? Pendant combien de temps après ? A quelles marques ou quels fabricants dois-je faire confiance ?
La compression améliore le retour veineux du sportif
Le système sanguin répond aux lois de la mécanique des fluides, en jouant sur les volumes, vitesses et débits pour irriguer tout l’organisme à travers un réseau très bien équipé en pompes motrices, relais intermédiaires et clapets anti-reflux. Du fait de la station debout de l’Homme et de la pesanteur, le sang éprouve plus de difficultés à remonter des jambes vers le cœur à travers les veines que pour descendre du cœur vers les pieds au sein des artères.
Le port de bas de compression (communément appelé « bas de contention ») vient comprimer les veines superficielles et profondes pour accompagner le sang à faire son circuit retour, en exerçant une pression dégressive, comme lorsque l’on presse un tuyau d’arrosage pour augmenter le débit ou lorsque l’on cherche à terminer un tube de dentifrice, pour utiliser une image parlante.
De la même façon qu’un dispositif de compression médicale vient favoriser le retour veineux, un dispositif de compression sportive utilise la même mécanique pour accélérer la décharge du sang appauvri en oxygène et riche en déchets (dioxyde de carbone, retour des tissus et organes qu’il a nourri – i.e. toxines, urées…) vers les organes d‘évacuation (reins, foie, intestins) puis surtout vers le cœur et les poumons. C’est le cœur qui assure en bout de chaine la récupération du sang veineux, le « sang bleu », lequel est ensuite propulsé dans l’artère pulmonaire vers les poumons où il s’oxygène et se vide du gaz carbonique. Ainsi on comprend pourquoi la compression participe indirectement à l’efficacité cardiaque (pompe principale du circuit sanguin) et à l’efficience globale du système circulatoire qui alimente tout l’organisme en carburant.
Compression dégressive ou progressive pour le sport ?
Ceci dit, il existe deux écoles dans la compression sportive. La compression dite dégressive, c’est-à-dire qui exerce une pression décroissante le long de la jambe : plus forte au niveau de la cheville puis de moins en moins forte en remontant vers le mollet puis la cuisse. C’est le principe de compression utilisé par tous les laboratoires spécialisés dans la compression médicale : Sigvaris Sport, Thuasne Sport, Compression Zone.
D’autres prônent la compression progressive, c’est-à-dire qui exerce une compression croissante en remontant sur le membre inférieur. C’est le cas de BV Sport, précurseur et référence dans la compression sportive avec notamment ses boosters de performance. Inventeur de ce nouveau concept de compression appliqué aux sportifs, BV Sport avance une efficacité supérieure par rapport à la contention dégressive traditionnelle, notamment sur la sensation de lourdeur et de fatigue, mais aussi et surtout sur la facilité d’enfilage et de confort une fois porté.
La compression sportive étant moins soumise à réglementation par les autorités de santé que la compression médicale, il est difficile aujourd’hui de trancher sur la question. Il ressort tout de même deux idées.
Compression dégressive pour améliorer la récupération du sportif
D’après l’avis des médecins, phlébologues et angiologues, il semblerait que la compression dégressive, utilisée en compression médicale et dont l’efficacité sur le retour veineux a été scientifiquement établie, soit à privilégier (ou du moins à utiliser sans crainte) notamment pour favoriser la récupération après l’effort. C’est dans ce sens que nous conseillons les marques issues du domaine médical pour les chaussettes de récupération (Sigvaris Sports, Thuasne Sports, Compression Zone).
Dans tous les cas, après l'effort, il faut garder en tête que seules les chaussettes, qui englobent la cheville, peuvent être efficace pour un bon retour veineux avec compression dégressive. La pression exercée au niveau de cheville étant fondamentale dans l'efficacité du dispositif. Les manchons ou cuissards sont à exclure.
Manchon de compression (progressive) pour la performance pendant l’effort physique
Du côté des dispositifs de compression à porter pendant l’effort, il est plus difficile de trancher car l’impact sur les performances directes est plus difficile à lire.
Cependant la communauté des médecins du sports abonde dans le sens du travail de recherche et développement réalisé par BV Sport, précurseur et leader incontestable dans le domaine de la compression sportive en France. Le discours en faveur de la compression progressive est séduisant : il faudrait nécessairement une compression différente sur la jambe saine du sportif par opposition à un traitement sur une jambe malade. C’est toute la théorie de BV Sport sur l’insuffisance veineuse potentielle du sportif, selon laquelle un traitement par contention et compression progressive élastique permettrait de « mieux vidanger les veines du mollet » qui sont soumises à rude épreuve pendant un effort intense, de manière sensiblement différente que dans la vie de tous les jours.
Interview de Salvatore Corona fondateur de BV Sport
Sans approfondir dans le débat scientifique « compression dégressive versus progressive », nous avons tendance à penser qu’il s’agit de la perception et de l’expérience de chacun en testant les deux types de compression, dont l’impact sur les performances reste a priori limité.
Dans tous les cas, il faut privilégier le port de chaussettes ou manchons de compression qui englobent le mollet, car c’est le réservoir veineux le plus important du bas du corps. L’action de la pompe du mollet pour dynamiser le flux sanguin et recycler l’oxygénation des muscles étant essentiel au bon fonctionnement du métabolisme.
L’effet des manchons de cuisse ou de bras pour les sports de course est quasi nul. Ils auront une utilité potentielle pour les sports qui sollicitent les muscles ciblés par la compression : par exemple un manchon de bras pour l’escalade ou un manchon de cuisse pour l’haltérophilie.
La compression pendant l’effort : impact modéré sur les performances
Influence de la compression sportive sur la VMA et la VO2 MAX
Plus l’effort est intense plus l’organisme consomme de l’oxygène. On parle chez les sportifs souvent de VO2 Max, ou consommation maximale d’oxygène. C’est un indicateur de la performance potentielle d’un individu dans une épreuve d’endurance, à savoir sa capacité à distribuer de l’oxygène aux cellules qui les transforment en énergie pour le métabolisme.
Exprimée en litre d’oxygène par minute, la VO2 Max est alimentée d’une part par la capacité des poumons, du cœur et du réseau vasculaire à distribuer un maximum d’oxygène dans le sang. D’autre part, elle résulte de la capacité du sang à transporter de l’oxygène aux tissus de l’organisme, notamment les muscles en activité. C’est l’hémoglobine (ou les globules rouges) qui garantit l’apport en oxygène aux cellules, lesquelles vont tirer partie de l’élément d’oxygène par un processus chimique.
C'est pourquoi les sportifs font des séjours en altitude, où l'air est moins riche en oxygène. L'organisme doit produire plus de globules rouges pour palier ce manque d'oxygène dans l'air. C’est aussi comme cela que certains produits dopants, comme l’EPO, viennent gonfler artificiellement la VO2 Max du sportif en augmentant son taux d’hémoglobine dans le sang.
Pour augmenter sa V02 Max, il faut suivre un entrainement spécifique pour habituer son système cardio-vasculaire à distribuer plus d’oxygène et accommoder son corps à mieux la consommer. Les programmes d’entrainements fractionnés, en jouant sur des efforts intenses répétés sont les plus à même d’augmenter sa V02 Max.
En course à pied, on utilise un autre indicateur : la VMA, Vitesse Maximale Aérobie. Il s’agit de la vitesse de course à partir de laquelle l’individu atteint sa VO2 Max. Sans aller plus loin dans les détails biologiques et explications scientifiques, nous dirons par simplification que plus la VMA est élevée et plus l’individu peut courir vite et longtemps.
En jouant sur le retour veineux, les dispositifs de compression ont un impact limité sur le circuit aller du système sanguin (artères et distribution d’oxygène aux cellules du corps) qui transporte le sang chargé en carburant (dioxygène, éléments nutritifs). Les études réalisées disponibles corroborent cette hypothèse : elle constatent qu’une faible amélioration réelle de la performance du sportif, notamment grâce à une légère diminution de la fréquence cardiaque à effort identique et une amélioration mineure de la durée maximale d’effort à VO2 Max.
Influence de la contention-compression sportive sur le seuil de fatigue musculaire et cardio-vasculaire
Au-delà de sa VMA, la consommation d’oxygène par le sportif ne peut plus croître et c’est donc l’organisme qui puise lui même dans ses ressources pour produire de l’énergie nécessaire à faire fonctionner le métabolisme. On parle de métabolisme anaérobie, par opposition à aérobie (besoin de dioxygène pour fonctionner). C’est ce processus chimique qui produit de l’acide lactique et qui perturbe l’effort musculaire, à l’origine de lourdeurs, douleurs et de crampes pendant un effort intense prolongé.
De la même manière que le dispositif de compression accompagne l’élimination des acides lactiques et toxines après l’effort, il agit tout autant pendant l’effort. C’est pour cela que les fabricants de manchons et chaussettes de compression sportive parlent d’augmentation de la puissance musculaire (capacité anaérobique) et de diminution des crampes.
D’autre part sur la capacité aérobie, lorsque l’on parle du travail d’endurance dans un cycle d’entraînement, on évoque souvent le foncier. Autrement dit c’est le travail de fond, la « capacité de résistance à la fatigue ». Comme vu plus haut, il s’agit de la capacité de l’organisme à durer dans l'utilisation au maximum l’oxygène disponible. Plus cette capacité est élevée, plus le corps permet de reculer le seuil énergétique de fatigue (lourdeur musculaire), le fameux seuil de production de l’acide lactique.
Un entraînement spécifique en foncier a pour but :
- d’améliorer le cardio en utilisant au maximum les apports d’oxygène par la respiration
- d’améliorer la vascularisation des muscles en densifiant le réseau de capillaires
Il est clair que les manchons de compression n’auront que peu d’impact sur l’augmentation du volume cardiaque. Néanmoins ils opèrent une meilleure circulation sanguine en agissant sur le réseau des veines profondes, des veines superficielles et des vaisseaux capillaires.
La compression agit un peu comme l’endurance fondamentale chez le coureur : elle ne permet de jouer ni sur l’aisance respiratoire ni les capacités cardio-vasculaires en vue d’augmenter son allure spécifique ; elle permet par contre à l’athlète de progresser dans le temps en participant activement à la lutte pour l’élimination de l’acide lactique, en repoussant ainsi le seuil d'épuisement musculaire et en évitant le risque de blessures (crampes, contusion, élongation...).
De plus, en comprimant les muscles et les articulations, les dispositifs de compression offrent un meilleur maintien des appuis et réduisent les mouvements oscillatoires. Ces vibrations parasites issues du ballotement des muscles peuvent être à l’origine de lésions musculaires. Les dispositifs de compression réduisent ainsi indirectement le risque de blessure. Risque diminué également par la régulation thermique qui évite la surchauffe des tendons et des muscles.
Tout cela conduit effectivement à augmenter le seuil de fatigue de l’organisme (efficacité musculaire, élimination des toxines, stabilité des appuis), et donc à améliorer les performances du sportif dans des disciplines d’endurance exigeantes : course à pieds longue distance (semi-marathon et marathon), trek et trail, cyclisme, ski de fond…
D’ailleurs, le fait que les dispositifs de compression soient interdits dans les épreuves de cyclisme en compétition (considéré comme « un équipement vestimentaire susceptible d’influencer la performance du coureur » ) témoigne tout de même d’une certaine efficacité à faire taire les plus sceptiques.
Pour le running et les épreuves d’endurance éprouvantes (marathon, trail, triathlon, ironman, ski de fond...), nous préconisons le manchon Booster Elite de chez BV Sport, véritable machine de performance qui a fait ses preuves chez les marathoniens, triathlètes et ultra trailers.
Pour les coureurs amateurs réguliers (2 à 3 sorties par semaine), optez pour le manchon de compression Pulse Road de chez Sigvaris Sport, qui offrent tous deux les caractéristiques que l’on recherche sur ce type de produit, en plus d’un bon rapport qualité-prix.
Concernant les sports qui font appel à l’endurance mais aussi à des efforts intenses plus courts (football, basketball, tennis…), la chaussette de performance Compression Zone offre un confort non négligeable au niveau des appuis (semelle massante, réduction des frottements, tissus absorbants…) et évite au sportif de devoir s’équiper à la fois en manchon mollet et chaussettes techniques.
Au-delà des sports d’endurance qui peuvent bénéficier pleinement des avantages de la compression pendant l’effort, nous allons voir que les sports dits explosifs sont ceux pour qui la compression pendant l’effort pourrait avoir le plus d’impact.
La contention-compression améliore la proprioception
La proprioception correspond à la sensibilité des organes du corps humain (muscles, tendons, ligaments, os, articulations…). Sans rentrer dans les détails neurologiques relativement complexes, disons que la proprioception est la perception consciente et inconsciente de son propre corps. Dans les sports qui demandent beaucoup de tonicité et de réactivité comme le sprint ou les sauts, avoir une bonne proprioception est indispensable.
En comprimant et en épousant les formes anatomiques notamment le gable des membres inférieurs relativement éloignés du cerveau (pieds, mollets, cuisses…), les dispositifs de compression jouent sur la stimulation des récepteurs proprioceptifs du corps (épiderme, muscles) et facilitent la contraction musculaire. Ils peuvent donc ainsi améliorer directement les performances du sportif dans des disciplines qui allient puissance, concentration, réflexes et maîtrise de son corps dans l’espace (sprint, sauts, lancers, escrime, sports de combat…).
La compression après l’effort : impact avéré sur la récupération
L’impact de la compression sportive sur la récupération n’est plus à démontrer. Tous les spécialistes s’accordent à dire que le port de dispositifs de compression après un effort intense participe à une meilleure récupération musculaire et donc à un retour plus rapide aux pleines performances du sportif. Utilité particulièrement recherchée par les athlètes qui enchaînent phases d'entraînement intensif et épreuves traumatisantes (ironman, marathon...) ou qui enchaînent les matchs pendant un tournoi (football, tennis...). Comme en témoigne Cyril Viennot (victoire à l'Ironman 70.3 Vietnam) et Laurent Koscielny (entraînement en équipe de France, préparation de l'Euro 2016) qui portent tous deux les booster BV Sport.
Réduction de la concentration en acide lactique
Pendant un effort intense, les muscles sont beaucoup sollicités et ils subissent des dommages. La sensation de lourdeur et de fébrilité au niveau des muscles en est le symptôme. C’est le résultat de l’acide lactique produit lors de la création d’énergie dans les muscles. Cette libération d’énergie s’opère lors de la respiration cellulaire, qui consomme d’une part des sucres et d’autre part de l’oxygène.
Comme vu précédemment, lors d’un effort intense, la consommation maximale d’oxygène étant atteinte c’est la consommation de sucre qui prend le dessus, entraînant un procédé chimique produisant plus d’acide lactique, lequel s’accumule dans la cellule et donc dans les muscles.
En favorisant le retour veineux, le dispositif de compression participe à l’évacuation des lactates et autres substances toxiques présentes dans le sang chargé de déchets (gaz carbonique, urée…) qui doivent être éliminés par les organes d’évacuation du corps humain (reins, poumons, foie, intestins).
En améliorant la circulation sanguine et notamment en favorisant l’élimination de l’acide lactique accumulé dans les cellules musculaires, la compression sportive opère un meilleur renouvellement du sang dans le corps et les muscles qui sont les premiers à en bénéficier pour soulager les traumatismes subits pendant un effort intense. Le sportif peut ainsi optimiser sa récupération pendant les phases de repos, notamment pendant les périodes d’entrainement spécifique ou pendant une compétition.
Les nouvelles chaussettes Recovery de Sigvaris Sports ont été conçues pour augmenter la vitesse de récupération du sportif, en garantissant une compression dégressive maitrisée et contrôlée grâce au savoir-faire du laboratoire Sigvaris.
Parmi les autres chaussettes de récupération que nous pouvons vous conseiller, les chaussettes Compression Zone offrent également une compression adaptée avec la caution médicale des laboratoires qui les fabriquent.
Récapitulatif des effets de la compression sur les capacités physiques du sportif
Pour conclure, comme tous les exercices bénéfiques à la circulation du sang après un effort (étirements, massages, bains froids…), les dispositifs de compression constituent un moyen facile et efficace pour aider l’organisme et notamment les muscles à se remettre. Comme le résume le schéma ci-dessus, les effets de la compression sur le corps du sportif sont nombreux :
+ Hémodynamique : amélioration du retour veineux et meilleure oxygénation des muscles
+ Mécanique : diminution des vibrations du muscle responsables de micro-lésions et traumatismes
+ Nerveux : développement de la proprioception et des "reflexes musculaires"
+ Thermique : thermorégulation contre la surchauffe musculaire
+ Psychologique : sensation de bien-être et de puissance musculaire décuplée
Si vous n'êtes pas encore convaincu par les bienfaits de la compression sportive pendant l'entrainement, faites l'essai ! Retrouvez ici tous nos produits de compression pour le sports, pour homme et femme.
Sources :
Has-sante.fr | Haute Autorité de Santé | Evaluation des dispositifs de compression médicale à usage individuel
Lequipe.fr | Les chaussettes de compression sont-elles utiles à la récupération ou pendant l'effort ?
Sites de fabricants : Bvsport.com , Thuasnesport.com ,Sigvaris.com
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